Calade

La radio du Beaujolais & Val-de-Saône

LE JOURNAL DU VENDREDI 18 OCTOBRE 2019

Au sommaire :

Le devoir de mémoire pour l’Union Locale CGT Villefranche Beaujolais Val de Saône rassemblée place des Arts jeudi dernier en matinée commémorant le massacre de centaines de Travailleurs Algériens en 1961, un 17 octobre, au cours d’une manifestation pacifique à l’appel du FLN dans les rues de Paris

la Police Scientifique s’invitait au cycle de conférences-débat à l’initiative du Café-des-Sciences

Inauguration le 19 octobre de la nouvelle exposition au Musée Paul Dini à Villefranche « Beaujolais Arts, Hommes et Territoires de la Révolution à nos jours » dans le cadre de la labellisation récente « Pays d’art et d’histoire » du Beaujolais

Le devoir de mémoire pour l’Union Locale CGT Villefranche Beaujlolais Val de Saône rassemblée place des Arts jeudi dernier en matinée commémorant le massacre de centaines de Travailleurs Algériens en 1961, un 17 octobre, au cours d’une manifestation pacifique à l’appel du FLN dans les rues de Paris, alors que la guerre d’Algérie touchait à sa fin. Un pan de l’histoire que nous rappelle Michel Lebail ex responsable Politique PCF.

Le souhait pour Christian Ritton, secrétaire général de l’UL CGT Beaujolais d’une reconnaissance de l’état de ces actes malheureux d’hier, nous confit-il à l’occasion du rassemblement.

Puis, la Police Scientifique s’invitait au cycle de conférences-débat à l’initiative du Café-des-Sciences au cinéma Les 400 Coups mercredi dernier en soirée, nous avons pu dialoguer avec Christophe Stecoli, Ingénieur en Police Scientifique du Centre national de la police technique et scientifique, responsable de la filière audio à Écully.

 

Et pour conclure, inauguration le 19 octobre de la nouvelle exposition au Musée Paul Dini à Villefranche « Beaujolais Arts, Hommes et Territoires de la Révolution à nos jours » dans le cadre de la labellisation récente « Pays d’art et d’histoire » du Beaujolais, en partenariat avec les acteurs des archives et du patrimoine comme nous le souligne Sylvie Carlier, conservateur en chef du Musée .

Retour en haut